Fille du sémantique Agénor, aussi mythique que son éponyme unité l’est du choix d’une destinée qui pourrait se résumer aux stériles discours théologiques d’une Iliade idéologiquement connotée et accordée à une religion de l’anthropomorphe avorton, il conviendrait de réviser sa stricte personne et de plutôt choisir à définition nominale son antagoniste Titanide, car cette première, enlevée par Dyeus et séduite par ces Charmes taurin, puis vulgairement donné en dot à un roitelet , dit la résumée légende et ne saurait dire expressément, comme sa consoeur Io, sa passion bovine comme son peuple engendré lui fait tradition en étant renouvellement et sempiternellement sailli par un Animal similaire, car loin d’être outré par le seul accouplement bestial, puisque les plus racés d’entre nous sont issus du viol d’un Loups, d’un Ours, d’un Sanglier et très certainement d’un Aurochs, ce serait d’ériger en culte la soumission sodomisatrice d’un veau d’or acéphalo-oriental qui interloque le plus.
Une Théomachie eut été plus judicieux.
Mytique succès qui entraîne la tourmente minoenne sur l’Autel volcanique et prophétiques tourments qu’attendent ses enfants. Mais ceci, rassurons les, n’est que pure Légende spéculative et mauvais Conte car la puissance et splendeur civilisatrice de la mère de Minos n’est plus à prouver.
Nos cousins Galates, qui supposons le, seront amenés à accepter la philologie géographique de leur terre conquise et leurs frères Gaéliques qui expriment, dans la plus pure nouvelle religion, leur désaccord par leur voix plutôt que leur glaive, méritent néanmoins un aspect de respect en dépit d’autres formes.
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